dimanche 20 décembre 2009

mercredi 16 décembre 2009

CBS Outdoor en grève

La Voix du Nord :
CBS Outdoor (Marcq-en-Baroeul) : Les salariés en grève
mercredi 16.12.2009, 09:52
Pour la seconde fois depuis fin octobre, des salariés de CBS Outdoor ont manifesté hier devant leur site marcquois, à la Pilaterie. Ils protestent contre la réorganisation de leur société, spécialisée dans la publicité extérieure.

Elle entraînerait une centaine de licenciements sur l'ensemble de la France, et des modifications de contrats de travail pour 330 personnes. Selon les syndicats, une douzaine de salariés de la Pilaterie (sur la quarantaine qui y travaillent) seraient concernés. La direction justifie la réorganisation par un souci de « dégager les moyens d'investissement nécessaires à la pérennité de l'entreprise » et de « bâtir une nouvelle stratégie » dans un contexte de crise. Si elle confirme les chiffres globaux, elle estime qu'il est trop tôt pour dire, à ce stade de la procédure, combien de personnes seraient touchées à Marcq.

INFO FIGARO Grève chez CBS Outdoor
Le Figaro
11/12/2009 | Mise à jour : 19:12 | Ajouter à ma sélection
L’intersyndicale rassemblant les syndicats CGT-CFDT-FO et CFTC a lancé un appel à la grève générale le mardi 15 décembre chez l’afficheur français CBS Outdoor. La mobilisation risque d’être forte à la Courneuve et dans les agences. Les salariés protestent contre le plan social présenté en octobre par Emmanuel Schalit, le nouveau patron du groupe. Entre 180 et 220 postes seraient menacés, sur un effectif total de 800 collaborateurs. Certaines directions régionales pourraient également être fermées.

Les Echos :
CBS Outdoor. Les salariés du groupe d'affichage et de...
[ 16/12/09 ]

CBS Outdoor. Les salariés du groupe d'affichage et de publicité extérieure (ex-Giraudy) ont reconduit pour ce mercredi leur mouvement de grève lancé hier à l'appel de l'intersyndicale CGT-CFDT-FO et CFTC. Ils protestent contre un plan social prévoyant 377 suppressions de postes sur 750 salariés. La mobilisation était forte mardi sur le site de la Courneuve et dans les agences de CBS Outdoor.


La voix éco
Nouveau mouvement de grève chez CBS Outdoor, à la Pilaterie, à Marcq
mercredi 16.12.2009, 05:04

Hier, une quinzaine de salariés de CBS Outdoor manifestaient devant leur entreprise, dans la zone industrielle de la Pilaterie à Marcq, à l'ap pel de la CFDT et de la CGT.

Fin octobre, déjà, ils avaient fait grève pour dire leur inquiétude quant au plan de réorganisation de leur société (ex-Giraudy), spécialisée dans la publicité extérieure. Selon Bernard Hermans (CFDT) et André Pochain (CGT), « la direction prévoit 100 licenciements secs et 330 personnes seraient en outre concernées par des changements de leur contrat de travail » dans toute la France.

Ils estiment à une douzaine le nombre de salariés qui pourraient être touchés (licenciement ou modification de poste) à Marcq, sur la quarantaine de personnes qui travaille à la Pilaterie. La direction reconnaît avoir pour objectif de passer d'environ 715 salariés à 615 en France ; mais il est, selon elle, impossible, à ce stade de la procédure, de donner des chiffres précis pour les sites locaux. CBS Outdoor justifie la réorganisation par « la nécessité de dégager des investissements nécessaires à la pérennité de la société » dans un contexte de crise.

Les syndicats n'ont pas appelé à la reconduction du mouvement.

CB News
Risque de grève générale à CBS Outdoor ce 15 décembre
L’intersyndicale (CGT-CFDT-FO et CFTC) de CBS Outdoor France a appelé l'ensemble des salariés à la grève générale pour ce mardi 15 décembre, en raison du plan social affectant le groupe d’affichage annoncé fin octobre par le Pdg Emmanuel Schalit. Le mouvement a été décidé suite à la réunion qui s'est tenue le 9 décembre dernier entre la direction et les représentants du personnel, dans le cadre du plan de sauvegarde de l'emploi. Les syndicats, qui ne disposaient pas encore du rapport de l'expert qui a été désigné pour analyser les comptes, ne souhaitaient pas valider son déroulement. Mais la direction a préféré maintenir la date du 9 décembre, "pour respecter le calendrier légal", nous a-t-on expliqué. Rappelons que le plan qui touche CBS Outdoor, révélé avant l'été par CB News, porte sur la suppression de 215 postes et la création de 115 autres, soit une réduction des effectifs de 100 postes sur les 727 que compte l'entreprise. La mobilisation pourrait être forte dans les différents sites, les salariés craignant la fermeture de directions régionales.

Le sapin est prêt !

sapin 2009


Anniv' décembre 2009

anniv 2009


Le rassemblement des DS et DSC à Paris

Rassemblement des DS et DSC


Grève chez CBS Outdoor

La lutte paye !
courneuve 1512

mercredi 11 novembre 2009

France Télécom, confirmation de l'élection de Daniel Guillot (F3C CFDT)

France Télécom: un administrateur CFDT élu pour représenter les cadres

Le candidat CFDT a été élu mardi chez France Télécom pour représenter les cadres au conseil d'administration lors d'un second tour de scrutin, tandis que la CGC-Unsa, arrivée deuxième, a encore progressé par rapport au premier tour, a indiqué mercredi l'entreprise.

La CFDT a rassemblé 32,28% des suffrages (30,11% au premier tour), la CGC-Unsa 29,05% (25,16%), la CGT 13,13% (14,79%), FO-CFTC 13% (15,09%) et Sud 12,54% (14,84%).

Pour les non-cadres, CGT et Sud avaient obtenu un siège chacun dès le premier tour le 22 octobre. Aucun candidat du collège cadres n'avait alors obtenu la majorité absolue.

Sur les quelque 48.000 salariés du collège cadres invités à participer au scrutin mardi, le taux de participation s'est élevé à 51,82%, contre 58,95% lors du premier tour.

La CGC-Unsa, qui avait rassemblé un total d'environ 12% des voix en 2004, a dénoncé dans un communiqué "un climat électoral détestable" qui l'a conduite à déposer six plaintes en justice, et souligné le faible écart avec la CFDT.

Le syndicat s'interroge "sur la légalité des résultats de ce second tour mais également sur la loyauté de la direction de l'entreprise", alors que la "crise sociale" à France Télécom est "sans précédent (suppression de 30.000 postes en quatre ans, montée massive de la souffrance au travail, vague suicidaire...)".

De son côté, la CFDT a estimé que son engagement "dans les négociations sur les conditions de travail, sur la place des seniors dans l'entreprise, démontre l'attachement des cadres à une politique contractuelle dans une période particulièrement troublée de la vie de l'entreprise".

AFP Le 11/11/2009 à 17:29

Cercle Finance le 11/11/2009 à 14:07 France Télécom : le représentant des cadres au conseil élu.

(CercleFinance.com) - C'est un représentant de la CFDT qui a été élu administrateur pour représenter les cadres de France Télécom au sein du conseil d'administration du groupe, annonce mercredi l'opérateur dans un communiqué.

Avec 33,3% des suffrages exprimés, la CFDT est en effet arrivée en tête du deuxième tour des élections des administrateurs, devant la CFE-CGC/UNSA (29% des suffrages) et la CGT (13% des voix).

A ce titre, Daniel Guillot (CFDT) a été élu administrateur titulaire, tandis que Michèle Viale (CFDT) a été désignée administratrice suppléante pour représenter les cadres.

Les deux administrateurs représentant les non-cadres, Ghislaine Coinaud (CGT) et Caroline Angeli (SUD), avaient été élues dès le premier tour le 22 octobre dernier.

Pour mémoire, le conseil d'administration du groupe est composé de 15 membres, dont huit administrateurs élus par l'assemblée générale, un administrateur élu par l'assemblée générale sur proposition des salariés actionnaires, trois administrateurs représentant l'Etat nommés par arrêté et trois administrateurs élus par les salariés.

samedi 7 novembre 2009

Vivent les luttes !



manif cbs outdoor


Non aux licenciement chez CBS Outdoor

Vivent les vacances !











La Turballe

Guérande

Langeais

LAngeais


Azay le rideau

Azay le rideau


Chenonceau

chenonceau

Amboise

amboise




Amboise une ville d'histoire, et de tant d'histoire pour moi...

Clos Lucé

clos lucé


Blois

blois


Chambord

chambord


Vlad en vacances

vlad en vacances


vendredi 7 août 2009

OpinionWay doit lever le doute

Une fois n'est pas contume, je reprends dans ce blog de manière intégrale une Tribune Libre de Syntec EMO publié dans "Le Monde" de ce jour. Mais quand un autre syndicat, fut-il patronal, a raison, il me semble légitime de relayer ses arguments.
(c) Le Monde, 2009.

Sondages et déontologie

Accusé publiquement de pratiquer " la pire langue de bois technocratique ou soviétique ", Syntec Etudes marketing et opinion souhaite ramener la sérénité après les critiques d'OpinionWay à son encontre et rappeler que, dans les métiers des études marketing et sondages d'opinion, la déontologie doit porter autant sur les pratiques que sur les propos.

Dans son rapport publié le 15 juillet, la Cour des comptes a relevé des dépenses en matière d'études d'opinion dont elle juge le montant " exorbitant au regard des règles de l'exécution de la dépense publique ". La Cour a en particulier pointé un contrat de 1,5 million d'euros entre l'Elysée et un cabinet chargé de commander des sondages à l'institut OpinionWay, sondages payés par l'Elysée et publiés également dans les médias, notamment Le Figaro et LCI. Cette information a suscité plusieurs réactions de la part de l'institut mis en cause, dont la ligne de défense a semblé alterner entre justifications sur ses pratiques, incriminations de confrères et charges contre l'organisme représentatif de la profession.

Syntec Etudes marketing et opinion rappelle que la profession ne se reconnaît pas dans les pratiques pointées par la Cour des comptes et laisse à l'institut OpinionWay, qui s'est exclu lui-même du syndicat en février, le soin de faire la lumière sur les faits qui lui sont reprochés.

Le syndicat appelle également les dirigeants d'OpinionWay à plus de mesure et de responsabilité dans leurs propos, qui jettent un doute réel sur toute la profession au lieu de s'attacher à mettre un terme à la polémique dont leur entreprise fait l'objet.

Tout l'effort des adhérents de Syntec Etudes marketing et opinion est de construire une relation professionnelle avec les clients qui soit indépendante des sensibilités des uns et des autres : déontologie, intégrité, rigueur intellectuelle, respect de l'opinion sont au coeur de ses engagements, justement parce que l'objectivité n'est pas une recette de cuisine.

Il se révèle totalement contraire aux règles professionnelles d'instrumentaliser un portefeuille de clients pour justifier la fiabilité et l'objectivité de résultats de sondages : l'impartialité d'un institut n'est pas liée à la diversité des clients, pas plus qu'au fait de travailler à 100 % pour un client en particulier. De même, elle n'a rien à voir avec le savant dosage des convictions politiques des collaborateurs.

La taille et la jeunesse d'une société d'études ne constituent en soi ni un argument concurrentiel, ni une preuve d'innovation, ni une aspérité médiatique.

Syntec Etudes marketing et opinion s'est conformé strictement à son rôle en tant que syndicat représentatif des sociétés d'études marketing et sondages d'opinion : rappeler les obligations éthiques et déontologiques qui s'imposent à tous les acteurs de la profession.

Soucieux des intérêts de ses membres, Syntec Etudes marketing et opinion, en apportant son expertise, est prêt à participer aux auditions de la commission d'enquête s'il en est décidé la création.

Patrice Bergen

Président de Syntec EMO

(Etudes marketing et opinion)

Publié dans le Monde

dimanche 5 juillet 2009

Un petit second pour la route !

Je suis tellement langoureux
Qu'au vrai raconter je ne puis
ni où je suis, ne qui je suis:
Chétif quiconque est amoureux.

J'ai pour mon hôte nuit et jour
Dedans le coeur un fier émoi,
Qui va exerçant dessus moi
Toutes les cruautés d'Amour:

Et ne puis me désenflammer
De celle qui m'occit à tort:
Car plus el' me donne la mort,
Plus je suis contraint de l'aimer.

Un peu de Ronsard dans ce monde de brute !

"Quand je vous voy, ma gentille maitresse,
Je deviens fol, sourd, muet, et sans ame,
Dedans mon sein mon pauvre coeur se pasme,
Entre surpris de joye et de tristesses.

Par tout mon chef le poil rebours se dresse,
De glace froide une fiebvre m'enflamme
Venes et nerfs: en tel estat, madame,
Je suis pour vous, quand à vous je m'adresse.

Mon oeil creint plus les vostres qu'un enfant
Ne creint la verge, ou la fille sa mere,
Et toutesfois vous ne m'estes severe

Sinon au point que l'honneur vous defend:
Mais c'est assez, puis que de ma misere
La garison d'autre part ne despend."

Et merci à Ana de m'avoir donné l'occasion de rechercher le mot clef "gentille maitresse" sur Google !!

lundi 29 juin 2009

Double anniversaire !

Ce soir avant le début des vacances nous fetions le double anniversaire de Léna et Néva nées toutes les deux un 15 juillet (avec 4 ans d'écart).

anniv lena neva


samedi 20 juin 2009

La fin du monde !!



Plus plastique :

Club des Nageurs de Paris

club nageurs paris juin 2009


Nimes - 31 % !

nimes juin 2009


Négo chomage Partiel (suite)

Le chômage partiel dans la branche Syntec au point mort. Patronat et syndicats ne parviennent pas à se mettre d'accord sur un texte. Hier, le projet soumis par Syntec a été repoussé par les organisations de salariés, qui y voient trop de risques de dérives. Notamment de dissimulation de l'intercontrat.
Hier après-midi, la réunion entre les représentants du patronat de la fédération Syntec et les syndicats, qui portait sur un projet d'accord de branche pour l'application du chômage partiel chez les prestataires de services, s'est soldée par un nouveau constat de désaccord. "En l'état, aucune organisation syndicale ne semble prête à signer", expliquait hier soir une représentante de la CGT. Une tendance confirmée ce matin par la fédération Syntec. Dans un mail, Max Balensi, le délégué général de la fédération, nous indique : "les négociations se sont terminées hier sur un constat de désaccord, les dernières propositions n’ayant pas suffi pour obtenir la signature d’au moins 3 organisations syndicales", parmi les 5 présentes à la table des négociations (CFE/CGC, CFTC, CGT, CFDT, FO).

Rappelons que lors d'un premier round, autour notamment d'un projet soumis par la CFDT et la CGT sur la seule filière automobile, les négociations avaient été une première fois rompues. Les syndicats dénonçant la volonté de Syntec d'étendre le dispositif à toutes les filières, au-delà du seul secteur de l'automobile. « Certaines SSII voient dans le chômage partiel le moyen de mettre sur la touche des ingénieurs en intercontrat et d’améliorer de manière purement technique leurs résultats », dénonçait dans nos colonnes Ivan Béraud, secrétaire national de la F3C (Fédération Communication, Conseil, Culture) CFDT. Une "tentation" que nous avions révélée en exclusivité dès la mi-mars.


lire la suite : http://www.lemagit.fr/article/ssii-syntec-chomage-syndicats-intercontrats/3594/1/exclusif-nouvel-echec-des-negociations-entre-patronat-syndicats-sur-chomage-partiel/

mardi 16 juin 2009

Plusieurs SSII du top 20 sont en situation de grande faiblesse

Plusieurs SSII du top 20 sont en situation de grande faiblesse
15.06.09 - Dirk Basyn
Alors qu'on parle de plus en plus d'un accord syndicats-patronat au sujet du chômage partiel des informaticiens, nous avons demandé ce qu'il en était à Ivan Béraud, secrétaire national F3C CFDT.


Channelnews : Des rumeurs font état d'un accord imminent entre les organisations syndicales et le Syntec Informatique au sujet du chômage partiel. Qu'en est-il ?

Ivan Béraud : Ce n'est pas nouveau ! Cela fait six mois que cela dure. En l'état actuel des choses on est loin d'un accord. Plusieurs points chauds subsistent. En numéro un vient les modalités d'indemnisations. Il y a ensuite le suivi des salariés. Troisième point chaud : l'articulation avec les inter-contrats. Il ne faut pas qu'il y ait confusion entre chômage et inter-contrat. Quatrième point chaud : la formation. Nous demandons des plate-formes régionales avec un suivi individuel des salariés.

Bien entendu, le patronat est opposé à tout cela. Celui-ci est d'ailleurs divisé en deux camps. Il y a ceux qui pensent que le moment est idéal pour faire culbuter les concurrents et il y a ceux, en difficulté, qui sont prêts à saisir la main des syndicats. Nous pensons de notre côté, que ce n'est pas parce que certaines entreprises sont mal gérées que leur personnel doit passer à la trappe. D'autant que le marché de l'emploi se porte mal. Les recrutements sont ainsi bloqués depuis le début de l'année. Les jeunes qui vont arriver sur le marché risquent de se retrouver au chômage.

la suite sur ChannelNews :

http://www.channelnews.fr/accueil/interviews/114-ssii/3571-plusieurs-ssii-en-grande-difficulte-.html

dimanche 7 juin 2009

La Campagne de Clara Morgane contre le viol

Un clip contre le viol avec Clara Morgane à l'affiche - Le Parisien
Le plombier sonne à la porte. C’est Clara Morgane, chanteuse et ex-star du X, qui ouvre, en petite robe blanche, les cheveux mouillés. Le regard de l’homme se braque sur la bouche de la belle. L’artisan a visiblement oublié la robinetterie défectueuse. Clara Morgane le repousse. « Le désir, c’est pas contagieux, quand c’est non, c’est non.» Slogan simplissime pour un clip internet contre le viol, la première campagne nationale lancée par le Collectif féministe contre le viol (CFCV), aidé gratuitement par les agences de communication Young&Rubicam et Hill&Knowlton Paris.
Mots-clés : viol clip clara morgane

samedi 6 juin 2009

7 juin : Votons pour la démocratie !

A eux qui serait tenter de s'abstenir, ou de voter au hasard, qu'ils se souviennent que lorsque que la paix et la démocratie sont en danger, peu nombreux sont ceux qui agissent dans l'ombre.

La construction de l'Europe qui a apporté au moins la paix sur ce continent mérite quelque minute de civisme dimanche.

Même si les hommes (et les femmes) politiques de tout accabi sont peu respecteux du respect que l'on doit à la Démocratie et tout ceux qui se sont battu pour qu'elle éclaire à nouveau notre continent. Dimanche je voterai donc en hommage à ceux qui ont agit pour faire reculer la barbarie. Je mettrai dans l'urne un bulletin de vote qui ne sera pas entaché de nationalisme, de régionalisme, de refus de construction de la paix en Europe !! et je vous invite à faire de même !

http://www1.yadvashem.org/heb_site/righteous/pdf/virtual_wall_of_honor/FRANCE.pdf
Pour ceux qui auraient la mémoire courte :
http://www.territoires-memoire.be/
http://www.territoires-memoire.be/expos/index.php

Pour ceux auraient oublié le totalitarisme stalinien :
http://www.memo.ru/library/arh_eng.pdf
http://www.memo.ru/museum/endex.htm
http://www.memo.ru/eng/map1.htm
http://www.memo.ru/eng/index.htm

Sur le régionalisme, quelque lecture sur la Bretagne (à titre d'exemple) :
http://www.communautarisme.net/grib/
http://www.communautarisme.net/grib/Nationalisme-breton-et-collaboration-avec-les-nazis-le-colloque-de-Brest_a23.html
http://www.communautarisme.net/La-memoire-s-arrete-t-elle-aux-portes-du-regionalisme_a157.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_national_breton


A ceux qui serait tenté de protester en votant pour les faux nez des héritiers de Trotski :

Concernant Trotski je vous conseille de relire ses écrits quand il était aux manettes, le résumé est dans Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Trotsky

"Après la révolution de Février 1917, Trotski décide de retourner en Russie en mai 1917. D'après Jennings C Wise, ce serait à l'aide du président américain Woodrow Wilson[5], qu'il obtient un passeport américain [6], qui lui permet d'arriver en Russie. Il est d'accord avec les « thèses d'avril » de Lénine, qu'il considère comme un signal de ralliement à ses propres idées de « révolution permanente ». Il a alors abandonné l'espoir de parvenir à une union générale de tous les courants, mais continue cependant à travailler sur la fusion de l'organisation interrayons et des bolcheviks.
Lorsque le congrès d'unification a lieu, en août 1917, il est arrêté et emprisonné par le gouvernement provisoire. Malgré sa détention, il est élu au Comité central par le congrès. Libéré suite au putsch avorté du Général Kornilov, il devient président du soviet de Petrograd en septembre et du Comité militaire révolutionnaire en octobre, devenant l'un des principaux dirigeants bolcheviks de la révolution d'Octobre. Il réorganise l'armée rouge, qu'il a fondé le 23 février 1918, en instaurant la conscription en pleine attaque des pays occidentaux sur le territoire russe.
La nuit du onze au douze avril 1918 , en période de Guerre civile russe et d'offensive des armées blanches, une action dirigée contre les anarchistes russes (qualifiés d'« anarcho-bandits ») par le pouvoir bolchévique dont Trotski s'occupe personnellement lui fera dire : « Enfin, le pouvoir soviétique débarrasse, avec un balai de fer, la Russie de l'anarchisme[7] ! »
Il occupe ensuite le poste de commissaire du peuple aux affaires étrangères jusqu'en 1918, duquel il démissionne après avoir signé les accords de Brest-Litovsk. Il devient ensuite commissaire à la guerre de 1918 à 1925, durant la guerre civile. Il organise les opérations militaires et intervient sur tous les fronts à bord de son train blindé. En parallèle, il fait partie du Bureau politique de 1919 à 1927.
En 1920 (notamment lors du IXe congrès du parti), afin de pallier la situation économique catastrophique de l'URSS, Trotski propose la militarisation provisoire du travail : selon lui, cette mesure était rendue nécessaire par le contexte de la guerre civile et de la révolution mondiale. Il posait déjà cette alternative en 1917 : « Ou bien la Révolution russe soulèvera le tourbillon de la lutte en Occident, ou bien les capitalistes de tous les pays étoufferont notre révolution.[8] » Dans cette vision, toute grève est considérée comme une désertion, et toute revendication est considérée comme une insubordination.
En mars 1921, il ordonne l'assaut de la citadelle insurgée de Kronstadt .
En décembre 1922, dans un long discours au IVème congrès du Komintern, il dénonce l'idéologie de la franc-maçonnerie française, coupable de réunir les ennemis de classe et de vouloir substituer la tolérance à la lutte armée[9]."

Si vous ne savez toujours pas pour qui voter : http://www.votematch.eu/votematches/EUDebate/France/index.html

lundi 1 juin 2009

Elections Européennes




Un autre widget !!


Un nouveau widget !!

mardi 12 mai 2009

Bravo Vlad


Si les petits cochons de l'adolescence ne le mangent pas, on en fera quelque chose !!



vendredi 24 avril 2009

Echec des négociations entre Syntec et syndicats sur le chômage partiel


Les négociations entre le Syntec et les syndicats CFDT et CGT ont été rompues ce mercredi 22 avril au soir. Dans un communiqué commun, les deux syndicats dénoncent « l’intransigeance » d’un patronat accusé de chercher à négocier un accord global incluant les SSII, là où la CFDT et la CGT veulent aller vite en concluant un accord limité aux prestataires de l’automobile, les plus gravement touchés par la crise économique.


jeudi 23 avril 2009

SSII : pas d’accord de branche sur le chômage partiel

Les négociations entre syndicats et patronat de la branche Syntec sur le chômage partiel ont achoppé. Les syndicats prédisent de nombreux recours en contentieux à la suite de cet échec.

En négociation depuis deux mois sur un accord de branche relatif à la question du chômage partiel dans le secteur des services informatiques, syndicats (CGT et CFDT) et patronat viennent de se séparer sur un constat d'échec. Les syndicats souhaitaient mettre en place un accord articulant chômage partiel et formation qui aurait permis aux informaticiens du secteur automobile de se reconvertir dans d'autres secteurs d'activité.

Particulièrement sinistré, le secteur automobile compte en effet plus de 4.000 salariés issus de la branche Syntec au chômage partiel. Des salariés qui ont peu de chance de retrouver des missions stables à moyen terme, selon Ivan Béraud, secrétaire national du pôle conseil du syndicat F3C CFDT. « Même en cas de reprise du secteur en 2010, une bonne moitié des emplois supprimés risquent de ne pas être recréés, explique-t-il. L'idée, c'est donc de profiter de cette période de chômage partiel pour organiser la sortie de ces personnes de la filière ».

la suite de l'article sur ChannelNews : http://www.channelnews.fr/expertises/116-emploi/3093-ssii-pas-daccord-de-branche-sur-le-chomage-partiel.html

Index de l'article
SSII : pas d’accord de branche sur le chômage partiel
Des recours contentieux inévitables
Toutes les pages

blocage de négociations sur le chômage partiel

AFP le 23/04/2009 à 19:41

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Ingénierie, informatique : blocage de négociations sur le chômage partiel

Le patronat des sociétés d'ingénierie et de services informatiques (Syntec) et les syndicats CFDT et CGT se sont renvoyé jeudi la responsabilité du blocage de négociations sur l'amélioration de l'indemnisation du chômage partiel dans la branche qui compte 700.000 emplois.
Les syndicats souhaitaient parvenir à un accord concernant dans un premier temps les salariés les plus affectés par des baisses d'activité, ceux des prestataires de services de la filière automobile (Altran, Alten, Assystem, Segula...). Quelque 4.000 de leurs salariés connaissent actuellement du chômage technique, indemnisé a minima.
Le Syntec voulait lui ouvrir le champ de l'accord à la branche entière, ce qui n'était pas nécessaire, selon la CGT et la CFDT, qui craignaient un accord "au rabais".
Dans un communiqué, le Syntec a déploré que l'ensemble des syndicats aient quitté mercredi "la négociation de cet accord qui aurait été une première dans cette branche" et visait "à maintenir l'emploi et à assurer le développement des compétences" par des formations. Il a appelé à la reprise du dialogue.
Pour leur part, CGT et CFDT ont demandé, dans un communiqué commun, que la fédération patronale revienne sur sa logique "extensive" du chômage partiel, qui s'appliquerait aux cadres au forfait heure ou jours, même hors fermeture de leur établissement, ce qui n'est pas autorisé, selon eux.
Les syndicats exigent aussi que le chômage partiel soit appliqué collectivement, et non "sur des critères individuels".
Il n'y a pas eu depuis le début de la crise de plans collectifs de suppressions d'emplois dans les sociétés prestataires d'ingéniérie, selon le Syntec. La CGT a dénoncé toutefois "des licenciements individuels, des ruptures conventionnelles" et "des pressions", notamment pour les salariés travaillant dans l'automobile.
Le syndicat entend déposer des recours en justice contre le chômage partiel "dans les entreprises où c'est possible", avait-il indiqué fin mars.
Alten s'est vu refuser récemment une autorisation de chômage partiel pour 400 collaborateurs par la direction départementale du travail, pour "absence de réels motifs" le justifiant, d'après la CGT.

Les négos sur le chômage partiel sont mortes




« Les négociations sur le chômage partiel sont mortes, sauf miracle »
Hier, la fédération Syntec et les cinq organisations syndicales de salariés ne sont pas parvenues à un accord sur le chômage partiel. Interview d'Ivan Béraud (F3C-CFDT). 23/04/2009 à 17:15


mercredi 22 avril 2009

Syntec : échec des négociation sur le chômage partiel

Contexte
Au cours de la troisième séance de négociation, la partie patronale s’est frontalement affrontée sur le périmètre avec les organisations syndicales. Après trois interruptions de séance, les Organisations Syndicales ont décidé de quitter la séance. Les négociations sont donc rompues.
L’enjeu de la négociation
Il s’agissait pour la CFDT de mettre en place une articulation Chômage Partiel – Formation avec la mise en place d’Espace Carrière Mobilité dans chaque région administrative, un droit au Bilan d’Etape Professionnel et un dispositif de formation adapté.
Un accord tripartite Syndicats de Salariés, Employeurs, Etats (et éventuellement régions) avait vocation à compléter le dispositif.
Des dispositions étaient prévues pour améliorer l’indemnisation des salariés ainsi qu’un encadrement de la mise en œuvre du Chômage Partiel pour limiter les dérives déjà constaté sur le terrain.
Enfin un volet était ouvert, hors Chômage Partiel, pour les entreprises ayant une forte demande sur la formation.
Des divisions patronales fortes
Les Organisations Syndicales demandaient pour permettre une mise en œuvre progressive du dispositif et éviter les effets d’aubaine, un périmètre d’abord limité à l’Automobile. Il était prévu des extensions possibles, par voie d’avenant, filière par filière.
Pour masquer ses divisions, le patronat a préféré demander une ouverture à tous va du dispositif sur l’ensemble de la Branche (700 000 salariés en lieu et place d’un périmètre de 30 000 ciblé par les OS).
Par ailleurs dans son texte, la partie patronale avait une logique de mise en œuvre extensive du chômage partiel (cadres au forfait heure ou jours en dehors d’une fermeture totale de l’établissement), mesure non collective. Elle revenait en arrière sur le droit des IRP et avait des propositions très insuffisantes sur l’indemnisation des salariés.
L’attitude des organisations syndicales
Le front uni CFDT-CGT a tenu bon pendant toute la négociation et nous avons été en permanence force de proposition. La CGC qui est présente dans certaines entreprises nous a suivies.

Les suites à donner
L’échec de la négociation sur la branche rend la main aux entreprises pour des négociations locales. Par ailleurs une pression continue doit s’exercer sur le patronat sur chacune des demandes de mise en place ou de prorogation du chômage partiel.
Les points de leviers sont les suivants :
• Caractère illicite de la mise en Chômage Partiel des salariés en InterContrat
• Caractère non collectif de la procédure de Chômage Partiel
• Mise en Chômage Partiel de Cadres en forfait annuel (en heure ou en jours)
• La non justification du caractère temporaire de la mesure
• La non justification des motifs justifiant le recours au chômage partiel
Deux moments sont propices. Lors de la consultation du CE, il faut alors que le CE refuse de se prononcer et que l’on engage une procédure au TGI. Lors de la décision de l’Inspection du Travail, il faut alors en gager un recours devant le Tribunal Administratif. Mais cette voie semble plus hasardeuse.

dimanche 19 avril 2009

Toi + moi


Merci à Jérome pour le lien

Gag, décompte Retraite !

Comme je profite de l'absence des enfants, je fais un peu de tri. Je tombe donc sur le décompte retraite que m'a envoyé la CNAV fin décembre 2008. Depuis que je cotise en 1981, je retrouve 11 employeurs : la ligue de l'enseignement, un office municipal, la Camif, un syndicat, l'académie de Paris, une SSSI, l'INT, un CHU, une entreprise de communication, la maison des universitaire, Hispano Suiza plus l'assurance vieillesse des parents au foyer.

Départ à la retraite à la fin du premier trimestre 2030.

C'était pas la peine de me déprimer aussi longtemps à l'avance...

Juste pour le fun, tous mes employeur ont l'air d'être là pour la retraite sécu, par contre les decomptes de retraite complémentaire sont fantaisistes. Il va falloir que je fasse quelque chose !

Tout le bonheur du monde



Certe c'est la crise, et pour longtemps, très longtemps, n'empèche qu'on vous souhaite tout le bonheur dans les luttes et l'allégresse !!

Merci à Jérome pour le lien

Les frites c'est de la dynamite !!

A écouter sur : http://www.deezer.com/track/les-frites-c-est-de-la-dynamite-T2166064

Le site : http://mange-tes-frites.skynetblogs.be/

"Salut à Toi !!"


Merci à Ana pour le lien
Et vive les camarades Béru !

samedi 18 avril 2009

Un petit oiseau

Gâteaux !!

gateaux avril 2009


Le marché publicitaire en berne

C'est vraiment la crise, si cette annonce (baisse de 6,9 %) se vérifie , alors nous sommes véritablement dans une crise longue. DSK et Trichet peuvent aller jouer aux billes...

Article du Figaro : http://www.lefigaro.fr/medias/2009/04/15/04002-20090415ARTFIG00279-zenithoptimedia-pessimiste-pour-le-marche-publicitaire-mondial-en-2009-.php
ZenithOptimedia pessimiste pour le marché publicitaire mondial en 2009
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Selon le réseau d'agences médias de Publicis, le marché devrait plonger de 6,9 % cette année.

Preuve du manque de visibilité sur le marché publicitaire, le réseau d'agences médias Zenith­Optimedia a été contraint de revoir, une nouvelle fois, ses prévisions pour l'année 2009 à la baisse. La filiale de Publicis Groupe a annoncé hier anticiper une baisse mondiale de 6,9 % des dépenses des annonceurs. En décembre, Zenith­Optimedia pariait encore sur une baisse minime de 0,2 % du marché. Trois mois plus tôt, aux débuts de la crise bancaire, l'agence avait promis 4,4 % de… croissance.
«Depuis nos dernières prévisions en décembre, le marché publicitaire mondial a pris un virage substantiel vers le pire», explique ZenithOptimedia dans un communiqué. En raison de l'aggravation de la crise économique, le ralentissement anticipé sur les marchés européen et américain sera plus violent que prévu - ils baisseront respectivement à - 8,3 % et - 8,7 %.
L'Asie préservée
L'ensemble des régions du monde entrera également en récession. Les annonceurs réduiront ainsi fortement leurs dépenses en Europe centrale (- 13,9 %) et en Afrique et Moyen-Orient (- 7,7 %). Préservée en partie grâce à l'essor des marchés chinois (+ 5,4 %) et indien (+ 6,4 %), la région Asie-Pacifique devrait essuyer une baisse de 3,4 % des investissements. Le Japon, qui représente 38 % des dépenses de la région, déclinera de 5 %.
«Les consommateurs ont commencé à dépenser moins, économiser plus et passer plus de temps à la maison», note ZenithOptimedia. Ils consacrent donc davantage de temps aux médias, notamment à la télévision et Internet. Ces deux supports seront les seuls à augmenter leur part de marché publicitaire en 2009, respectivement à 38,6 % (+ 0,5) et 12,1 % (+ 1,7). Les investissements sur le Web augmenteront de 8,6 % en 2009, contre 20,9 % de croissance en 2008. Premiers bénéficiaires de ces investissements : les liens sponsorisés sur les moteurs de recherche, plébiscités par les consommateurs à la recherche de bonnes affaires.
Le marché global, profitant d'une base de comparaison plus faible sur 2009, pourrait renouer avec la croissance 2010, indique l'agence média.

jeudi 16 avril 2009

Le pôle emploi rêve, Le pôle Emploi rève...

"L'enquête publiée en fin de semaine dernière par le Pôle Emploi se montre optimiste quant aux recrutements de cadres en informatique en 2009. Trop optimiste pour la plupart des observateurs, qui pointent notamment des SSII qui, pour la plupart, ont gelé leurs recrutements...
Pour le Pôle Emploi, les recrutements de cadres en informatique vont se poursuivre à un niveau soutenu en 2009, et la majorité de ces recrutements resteront difficiles. Cette conclusion, issue de l'enquête annuelle sur les besoins en main d'oeuvre (BMO) qu'effectue le Credoc pour le Pôle Emploi (et hier pour les Assedic), apparaît bien sûr surprenante à l'heure où la plupart des SSII - le poumon de l'emploi IT du fait de leur taux de turnover notamment - ont pris des mesures de gel des recrutements. Et que les donneurs d'ordre se sont massivement engagés dans des mesures de réduction des coûts. Des mesures qui se sont traduites dans le nombre d'annonces recensées notamment par l'Apec (Agence pour l’emploi des cadres) : en février dernier, cette dernière enregistrait ainsi une chute de 40 %.

Imperturbable, l'enquête sur les besoins de main d'oeuvre des entreprises pour 2009 prévoit 36 717 recrutements dans la catégorie "ingénieurs et cadres de l'informatique (sauf technico-commerciaux)". Soit à peine moins que les 39 390 comptabilisés l'an dernier à la même époque. Une "légère" chute de 7 %. Et ces projets de recrutement sont jugés à peine moins difficiles qu'en 2008 (54 % des cas contre 65 % un an auparavant).

L'effondrement du turnover

Des résultats qui font sourire, côté syndical. Pour Ivan Béraud, secrétaire national de la F3C (Fédération Communication, Conseil, Culture) CFDT, l'effondrement du turnover en 2009 va "mécaniquement faire chuter les recrutements même sans destruction d'emploi". De facto, les chiffres de l'étude Credoc intègrent toutes les variétés de recrutement, promotions internes y compris.

Attentisme pour l'instant, verdict après l'été

Si le doute s'installe sur les résultats communiqués par le Pôle Emploi, c'est que cette édition 2009 de l'étude du Credoc est avant tout victime du timing : effectuée en novembre et décembre 2008, elle reflète l'opinion de DRH n'ayant pas encore pleinement pris la mesure de l'ampleur de la crise. "A cette période, les plans de recrutement étaient encore assez élevés, relève Ivan Béraud. Nous avions d'ailleurs protesté à l'époque en mettant en doute la réalité de ces prévisions". Pour le syndicaliste, les directions des entreprises du secteur - SSII en tête - sont aujourd'hui dans une position d'attentisme. "Tout va se jouer autour de l'été. Fin juin, les dirigeants auront une idée réaliste de leur exercice budgétaire. Si les projets ne redémarrent pas d'ici là, on aura une année sans recrutement". Autant dire que les 36 700 recrutements du Pôle Emploi apparaîtront alors comme une douce chimère.

Interrogé sur le sujet, le Pôle Emploi ne nous a fourni aucune réponse. "
Lire l'article complet et le dossier : http://www.lemagit.fr/article/ssii-recrutement-informaticiens-turnover-crise/3027/1/36-700-recrutements-cadres-2009-que-pole-emploi-pour-croire/

la carte des manif du 1er mai


Afficher La carte des mobilisations CFDT du 1er mai 2009 sur une carte plus grande
Merci à Nicolas

jeudi 9 avril 2009

Félicie Aussi

La version de fred blondin versus l'original de Fernandel




Une version anti sarkozi


et pour finir une autre version rock :

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