De nouveaux droits pour les salariés avec l'accord sécurisation de l'emploi #CFDT

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#CSMFBasket les matchs de février de l'équipe Minimes Filles

Face à USD charonne, les filles sont menées de bout en bout à l'extérieur. Néanmoins c'est un match agréable à l'extérieur. Pas de regret à avoir sur le score final de 60 à 51.

De CSMF vs USD Charonne

Face à la réserve du CSP 19, les filles dominent outrageusement. Au final, c'est un carton 54-9 à l'extérieur.

De csmf vs CSP 19-2

A domicile face à Championnet, il a fallu une défense de fer et un emballement du jeu par la meneuse pour parvenir après la seconde prolongation à vaincre d'une tête (48-46) et prendre le temps d'un samedi la tête du championnat Parisien après un match agréable et palpitant ! A l'issu de l'ensemble du Dimanche, le CSMF est à 1 point du leader (Eiffel) et au coude à coude avec la bête noire (la réserve du PB18).

De csmf vs championnet

Désormais il reste 3 match à jouer : à l'extérieur face au PUC (match de la première journée en retard). A domicile face à la réserve du PB18 qui doit être prenable malgrès le lourd carton pris à l'aller. Si tout ce passe bien, la dernière journée sera décisive face au leader Eiffel que les filles ont battu à l'aller, même si le match sera à l'extérieur !

Une chanson que les députés de la droite catholique devraient méditer : Fuck Me In The Ass Because I Love Jesus #DirectAN #Mariagepourtous

Fuck Me In The Ass Because I Love Jesus - Insolite

Le meilleur de C. Taubira dans le débat pour #mariagepourtous #DirectAN

Excellent résumé des peurs de la droite catho face au #MariagePourTous #DirectAN

La musique résiste au diktat de l'industrie du disque

Je ne résiste pas à vous mettre sur ce blog la tribune ne Nilda Fernandez publié dans le Monde daté de ce jour.
 Il y a deux mois, dans une émission consacrée au rôle du Web dans la musique enregistrée, j'ai entendu le PDG d'Universal - que j'ai connu plus inspiré avant qu'il devienne gourou de l'industrie du disque - répondre à la question d'une journaliste par une phrase ahurissante : "Vous savez, quand je produis un disque, c'est moi qui prends tous les risques !"
 Ainsi, l'employé le mieux rémunéré de la plus grande multinationale du disque reverse une grande partie de son gros salaire mensuel à six chiffres pour soutenir la création ! Avec de tels capitaines à la barre, avec leur myopie et leur suffisance suicidaire, nos Titanic sont bien menés.

 (...)
 La disparition de l'industrie n'est pas la fin de la musique. Au contraire. Elle n'est qu'un coup d'arrêt à l'usurpation d'identité de ses financeurs et de ses re-producteurs.

 Saluons nos albums passés mais soyons fiers de notre musique à venir, immatérielle par nature, et imaginons un autre sort pour elle que des petits carrés aux dimensions de "bacs" en voie d'extinction.

Soyons notre propre moteur, attirons des forces neuves et enthousiastes, des esprits décidés à ne pas se lamenter sur la fin d'un monde mais prêts à accueillir celui qui vient. Ce sera un bon exemple d'intelligence, ça donnera du souffle et des idées à nos semblables et ça ne se présentera pas deux fois.

 Nilda Fernandez, auteur-compositeur-interprète

  Lire la totalité de cette tribune sur http://abonnes.lemonde.fr/idees/article/2013/02/01/la-musique-resiste-au-diktat-de-l-industrie-du-disque_1825977_3232.html