De j19 |
Mais aussi pendant le décompte, l'occasion de regarder 40 ans en arrière.
Alors il y a 40 ans, le Parti Communiste n'avait pas encore abandonné la dictature du prolétariat (XXIIème congrès de 1976, lire et voir ici) qui lui valu une mini crise et une campagne d'affichage du PCMLF
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Le cadre : l'Assemblée nationale, le 28 février 1950.
Un député communiste : « Monsieur le ministre, sur les grands boulevards de Paris, on vend une boisson qui s'appelle Coca-Cola. »
Le ministre de la Santé publique : « Je le sais. »
Député : « Ce qui est grave, c'est que vous le sachiez et que vous ne fassiez rien. »
Ministre : « Je n'ai actuellement aucun texte pour agir. »
Député : « Cette question n'est pas simplement une question économique, ni même simplement une question sanitaire. C'est aussi une question politique. Il faut donc savoir si, pour une question politique, vous allez permettre qu'on empoisonne les Français et les Françaises. »
lire iciLe jour même, l'Assemblée nationale vota afin de donner au gouvernement autorité pour interdire le Coca-Cola s'il s'avérait que cette boisson était nocive.
ou encore là
Bon d'accord, il y avait en Pepsi, quoique... et la résistance à l'oppresseur yankee allait finir par disparaître...
Mais pour revenir à l'abandon de la dictature du prolétariat, il me semblait que le PCF avait, pour une fois raison, il ne fallait pas faire peur à l'électorat bourgeois. Car même les ultra staliniens du PCMLF en appelait à l'unité entre la classe ouvrière et le petit patronat
De j19 |
Pour tout dire sur ce coup là, j'étais la seule personne sensée à refuser tout autant les dictatures de la bourgeoisie que celle du prolétariat. Du charme des minoritaires...
Pendant 19 jours, nous revivrons 40 ans de nos habitudes avant de #changeons40ansd'habitudes !
Pendant 19 jours, nous revivrons 40 ans de nos habitudes avant de #changeons40ansd'habitudes !
De j19 |
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