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| manif janvier 2009 |
vendredi 30 janvier 2009
mercredi 28 janvier 2009
Manifestation du 29 janvier
Manifestations du 29 janvier : vers une forte mobilisation des SSII en région
Edition du 27/01/2009 - par Véronique Arène
La mobilisation des entreprises du secteur des services informatiques sera-t-elle massive ce jeudi 29 janvier, jour de la manifestation interprofessionnelle nationale pour l'emploi et les salaires. Le secrétaire de la F3C-CFDT, le syndicat des métiers de la communication et du conseil, s'attend à un rassemblement plutôt modeste à Paris, mais plus important en région : « En Ile de France, nous attendons de cent à deux cents salariés, ce qui n'est pas si mal à l'échelle d'un secteur comme celui des SSII, estime Ivan Béraud. En revanche, la mobilisation devrait être plus massive en province, notamment à Toulouse, Grenoble ou Nantes, des régions où les SSII sont fortement représentées, et où le climat social n'est pas bon ». Ont notamment été appelés à participer à cette journée d'action les salariés d'HP/EDS au travers d'un mouvement européen calé sur la France pour protester contre les suppressions de postes qui découlent du nouvel ensemble. Idem chez Capgemini où il est rappelé, dans un tract, que « la crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement les salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Chez Devoteam, les organisations appellent à débrayer pendant une heure entre 13h30 et 14h30 sur la question des salaires. Seront également de la partie, les syndicats d'IBM et ceux d'Atos Origin, notamment, sur les questions de l'emploi, du pouvoir d'achat ou des garanties collectives.Du côté des opérateurs, les syndicats de France Télécom ont également déposé des préavis de grève à la direction qui préparerait, selon eux, un autre plan de suppressions d'emplois appelé "Next II". Les chercheurs du CNRS comptent eux aussi sur cette journée d'action pour protester contre la réorganisation du centre de recherches et obtenir le maintien de leur statut.
Edition du 27/01/2009 - par Véronique Arène
La mobilisation des entreprises du secteur des services informatiques sera-t-elle massive ce jeudi 29 janvier, jour de la manifestation interprofessionnelle nationale pour l'emploi et les salaires. Le secrétaire de la F3C-CFDT, le syndicat des métiers de la communication et du conseil, s'attend à un rassemblement plutôt modeste à Paris, mais plus important en région : « En Ile de France, nous attendons de cent à deux cents salariés, ce qui n'est pas si mal à l'échelle d'un secteur comme celui des SSII, estime Ivan Béraud. En revanche, la mobilisation devrait être plus massive en province, notamment à Toulouse, Grenoble ou Nantes, des régions où les SSII sont fortement représentées, et où le climat social n'est pas bon ». Ont notamment été appelés à participer à cette journée d'action les salariés d'HP/EDS au travers d'un mouvement européen calé sur la France pour protester contre les suppressions de postes qui découlent du nouvel ensemble. Idem chez Capgemini où il est rappelé, dans un tract, que « la crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement les salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Chez Devoteam, les organisations appellent à débrayer pendant une heure entre 13h30 et 14h30 sur la question des salaires. Seront également de la partie, les syndicats d'IBM et ceux d'Atos Origin, notamment, sur les questions de l'emploi, du pouvoir d'achat ou des garanties collectives.Du côté des opérateurs, les syndicats de France Télécom ont également déposé des préavis de grève à la direction qui préparerait, selon eux, un autre plan de suppressions d'emplois appelé "Next II". Les chercheurs du CNRS comptent eux aussi sur cette journée d'action pour protester contre la réorganisation du centre de recherches et obtenir le maintien de leur statut.
samedi 24 janvier 2009
Ce soir, j'essaye de comprendre à quoi peut servir Twitter. Bon ça lm'oblige à essayer de comprendre comment ça marche.
Pour faire simple c'est un facebook où il n'y aurait que des statuts, mais où on peut suivre les statut de qui ont veux...
Le plus simple c'est d'y aller quand même
http://www.twitter.com/ivanberaud
Pour faire simple c'est un facebook où il n'y aurait que des statuts, mais où on peut suivre les statut de qui ont veux...
Le plus simple c'est d'y aller quand même
http://www.twitter.com/ivanberaud
vendredi 23 janvier 2009
France Télécom : la totalisation finale confirme la progression CFDT
Résultat Comité d'Entreprise
La CFDT est la seule organisation syndicale représentative qui progresse
CFDT : 21,88 %
CGT : 26,33 %
SUD : 22,44 %
FO : 12,14 %
Syndicats non représentatifs
CGC : 9,87 %
CFTC : 6,88 %
La CFDT devient la seconde organisation en siège
Résultats Délégués du personnel
La CFDT passe devant SUD et redevient 2ème organisation
CFDT : 22,96 %
CGT : 29,24 %
SUD : 22,92 %
FO : 12,45 %
Syndicats non représentatifs :
CGC : 6,14 %
CFTC : 6,05 %
La CFDT est la seule organisation syndicale représentative qui progresse
CFDT : 21,88 %
CGT : 26,33 %
SUD : 22,44 %
FO : 12,14 %
Syndicats non représentatifs
CGC : 9,87 %
CFTC : 6,88 %
La CFDT devient la seconde organisation en siège
Résultats Délégués du personnel
La CFDT passe devant SUD et redevient 2ème organisation
CFDT : 22,96 %
CGT : 29,24 %
SUD : 22,92 %
FO : 12,45 %
Syndicats non représentatifs :
CGC : 6,14 %
CFTC : 6,05 %
France Télécom : la CGC confirme la victoire de la CFDT
d'après la CGC les résultats définitifs sont les suivants :
CGT : 26% (-2,7)
SUD : 22,3% (-2,4)
CFDT : 21,9% (+1,6)
autres syndicats
FO : 12,2%
CFE-CGC/UNSA : 9,8%
CFTC : 6,8%
CGT : 26% (-2,7)
SUD : 22,3% (-2,4)
CFDT : 21,9% (+1,6)
autres syndicats
FO : 12,2%
CFE-CGC/UNSA : 9,8%
CFTC : 6,8%
FT : résultats définitifs
Voici les résultats qui semblent définitifs sur France Télécom :
en % des suffrages :
CFDT : 21,88 %
CGT : 26,33 %
SUD : 22,44%
FO : 12,44 %
CGC :9,87 %
CFTC : 6,88 %
Autres : 0,22 %
en nombre de sièges :
CFDT : 47
CGT : 56
SUD : 40
FO : 22
CGC : 25
CFTC : 7
Autres : 3
et bien voilà des nouvelles qui sont bonnes
en % des suffrages :
CFDT : 21,88 %
CGT : 26,33 %
SUD : 22,44%
FO : 12,44 %
CGC :9,87 %
CFTC : 6,88 %
Autres : 0,22 %
en nombre de sièges :
CFDT : 47
CGT : 56
SUD : 40
FO : 22
CGC : 25
CFTC : 7
Autres : 3
et bien voilà des nouvelles qui sont bonnes
Elections France Télécom : nouvelle progression CFDT
Les deux premiers syndicats de l'entreprise (CGT et SUD) avec - 2 points chacun subissent un net échec.
La CFDT avec une progression d'un point est au coude avec SUD.
CGT : 26% (-1)
SUD : 22,5% (-2)
CFDT : 21,5% (+1)
les autres syndicats (FO, CGC, CFTC) sont loin derrière
La CFDT avec une progression d'un point est au coude avec SUD.
CGT : 26% (-1)
SUD : 22,5% (-2)
CFDT : 21,5% (+1)
les autres syndicats (FO, CGC, CFTC) sont loin derrière
mercredi 21 janvier 2009
La crise et les SSII
Interview dans Channel News
S'il est encore trop tôt pour voir les effets de la crise sur l'emploi dans les SSII, elle frappe déjà les sociétés de conseils en technologies, explique Ivan Béraud, secrétaire national du pôle conseil de la F3C CFDT.
Ivan Béraud est secrétaire national F3C CFDT en charge du pôle conseil et publicité qui inclut notamment l'ensemble des entreprises sous convention Syntec. Il règne sur un secteur qui compte 5 000 adhérents représentant un million de salariés.
Channelnews : Avez-vous des indices vous permettant de penser que le taux d'inter-contrats est en hausse dans les SSII ?
Ivan Béraud : Je n'ai pas encore d'informations concernant les SSII mais je constate que la crise frappe déjà les sociétés de conseils en technologies. Dans ce secteur, qui compte 65 000 salariés, nous avons recensé 2 700 personnes en inter-contrat. Les sociétés de conseils en technologies sont notamment impactées par les difficultés du secteur automobile, dans lequel 63% d'entre elles interviennent. Nous estimons ainsi le périmètre de salariés pouvant être potentiellement impactés entre 20 000 et 30 000.
Pensez-vous que les SSII puissent être épargnées par ce phénomène ?
Ivan Béraud : Je ne crois pas. Il faut notamment s'attendre à des effets dans le secteur automobile où les grands donneurs d'ordre sont en train de restructurer leurs achats en profondeur. Renault vient ainsi de remercier brusquement 1 800 prestataires de services sur son site de Guyencourt qui compte 12 000 salariés. Les premières touchées sont les sociétés de conseils en technologies mais il n'y pas de raisons que les SSII ne le soient pas. Ainsi, rien que chez Renault, Atos compte 750 personnes positionnées.
A quoi faut-il s'attendre ?
Ivan Béraud : L'impact sur les SSI risque d'être d'autant plus violent, qu'on pressent une amorce de délocalisation des métiers de la conception et de la R&D jusqu'ici épargnés car complexes à délocalisés. Alors si les constructeurs automobiles s'attaquent à ces métiers, il n'y a pas de raison que dans le secteur informatique, où le mouvement est déjà bien enclenché, cela ne s'accélère pas.
Et dans les autres secteurs ?
Ivan Béraud : L'automobile n'est pas le seul secteur à battre de l'aile. L'immobilier et le secteur bancaire, les assurances sont sinistrés. Certes, il y a encore des budgets en cours mais peut toujours retarder les livraisons, voire stopper les projets. L'informatique n'est pas réellement un outil anticrise. On le voit bien dans les statistiques : au cours des deux dernières crises la baisse des dépenses en logiciels et services a suivi en l'amplifiant la baisse des investissements industriels.
Pourquoi ne voit-on encore aucun signe de ce retournement ?
Ivan Béraud : Il y a déjà des signes : les SSII ont nettement ralenties les embauches, les négociations salariales sont bloquées partout et les budgets ne sont toujours pas bouclés à la mi-janvier. En revanche, il est encore trop tôt pour voir un effet sur l'emploi. Pour les services de régie, nous sommes en plein dans la période des renouvellements de contrats. On commencera à pouvoir se faire une idée plus claire à la fin du mois de janvier. Mais dans la plupart des cas, je pense qu'il faudra attendre la fin du premier semestre.
Pourquoi ?
Ivan Béraud : Il faut se remettre à l'esprit que, malgré l'amoncellement des nuages ces derniers temps, l'année 2008 a été un excellent cru. Le taux d'activité des SSII a été bien supérieur à 80% ce qui correspond clairement à une situation de surchauffe. Du coup, la profitabilité a été exceptionnelle. Les caisses sont pleines et je pense que le secteur a la capacité à absorber une baisse de 10% de son activité sans aucun impact sur l'emploi.
Mais si le retournement est prévisible pourquoi les SSII ne prennent-elles pas les mesures qui s'imposent ?
Ivan Béraud : C'est ce que nous reprochons aux patrons. Ils sous-estiment le risque de retournement. Dans le secteur du conseil en technologies, ils étaient encore à se racheter entre eux au mois de décembre sans voir qu'ils allaient laisser des centaines de personnes sur le carreau le mois suivant. Dans les SSII, ils devraient se mettre en position de repli et rester intransigeant sur leur politique commerciale. Au lieu de cela, ils laissent leurs intervenants chez leurs clients alors que les renouvellements ne sont même pas encore signés, quitte à accepter ensuite des baisses de tarifs irraisonnables.
http://www.channelnews.fr/actu-societes/interviews/114-ssii/2168-l-les-patrons-de-ssii-sous-estiment-le-risque-de-retournement-de-lactivite-r.html?showall=1
En savoir plus :
Les SSII ne sont plus valorisées que quatre fois leur résultat d'exploitation
Les SSII françaises rétives à la concentration
« Les SSII sont encore dans une attitude de déni de la crise »
SSII : leur activité ne serait pas encore affectée par la crise
SSII : troisième mois consécutif de baisse de la demande
S'il est encore trop tôt pour voir les effets de la crise sur l'emploi dans les SSII, elle frappe déjà les sociétés de conseils en technologies, explique Ivan Béraud, secrétaire national du pôle conseil de la F3C CFDT.
Ivan Béraud est secrétaire national F3C CFDT en charge du pôle conseil et publicité qui inclut notamment l'ensemble des entreprises sous convention Syntec. Il règne sur un secteur qui compte 5 000 adhérents représentant un million de salariés.
Channelnews : Avez-vous des indices vous permettant de penser que le taux d'inter-contrats est en hausse dans les SSII ?
Ivan Béraud : Je n'ai pas encore d'informations concernant les SSII mais je constate que la crise frappe déjà les sociétés de conseils en technologies. Dans ce secteur, qui compte 65 000 salariés, nous avons recensé 2 700 personnes en inter-contrat. Les sociétés de conseils en technologies sont notamment impactées par les difficultés du secteur automobile, dans lequel 63% d'entre elles interviennent. Nous estimons ainsi le périmètre de salariés pouvant être potentiellement impactés entre 20 000 et 30 000.
Pensez-vous que les SSII puissent être épargnées par ce phénomène ?
Ivan Béraud : Je ne crois pas. Il faut notamment s'attendre à des effets dans le secteur automobile où les grands donneurs d'ordre sont en train de restructurer leurs achats en profondeur. Renault vient ainsi de remercier brusquement 1 800 prestataires de services sur son site de Guyencourt qui compte 12 000 salariés. Les premières touchées sont les sociétés de conseils en technologies mais il n'y pas de raisons que les SSII ne le soient pas. Ainsi, rien que chez Renault, Atos compte 750 personnes positionnées.
A quoi faut-il s'attendre ?
Ivan Béraud : L'impact sur les SSI risque d'être d'autant plus violent, qu'on pressent une amorce de délocalisation des métiers de la conception et de la R&D jusqu'ici épargnés car complexes à délocalisés. Alors si les constructeurs automobiles s'attaquent à ces métiers, il n'y a pas de raison que dans le secteur informatique, où le mouvement est déjà bien enclenché, cela ne s'accélère pas.
Et dans les autres secteurs ?
Ivan Béraud : L'automobile n'est pas le seul secteur à battre de l'aile. L'immobilier et le secteur bancaire, les assurances sont sinistrés. Certes, il y a encore des budgets en cours mais peut toujours retarder les livraisons, voire stopper les projets. L'informatique n'est pas réellement un outil anticrise. On le voit bien dans les statistiques : au cours des deux dernières crises la baisse des dépenses en logiciels et services a suivi en l'amplifiant la baisse des investissements industriels.
Pourquoi ne voit-on encore aucun signe de ce retournement ?
Ivan Béraud : Il y a déjà des signes : les SSII ont nettement ralenties les embauches, les négociations salariales sont bloquées partout et les budgets ne sont toujours pas bouclés à la mi-janvier. En revanche, il est encore trop tôt pour voir un effet sur l'emploi. Pour les services de régie, nous sommes en plein dans la période des renouvellements de contrats. On commencera à pouvoir se faire une idée plus claire à la fin du mois de janvier. Mais dans la plupart des cas, je pense qu'il faudra attendre la fin du premier semestre.
Pourquoi ?
Ivan Béraud : Il faut se remettre à l'esprit que, malgré l'amoncellement des nuages ces derniers temps, l'année 2008 a été un excellent cru. Le taux d'activité des SSII a été bien supérieur à 80% ce qui correspond clairement à une situation de surchauffe. Du coup, la profitabilité a été exceptionnelle. Les caisses sont pleines et je pense que le secteur a la capacité à absorber une baisse de 10% de son activité sans aucun impact sur l'emploi.
Mais si le retournement est prévisible pourquoi les SSII ne prennent-elles pas les mesures qui s'imposent ?
Ivan Béraud : C'est ce que nous reprochons aux patrons. Ils sous-estiment le risque de retournement. Dans le secteur du conseil en technologies, ils étaient encore à se racheter entre eux au mois de décembre sans voir qu'ils allaient laisser des centaines de personnes sur le carreau le mois suivant. Dans les SSII, ils devraient se mettre en position de repli et rester intransigeant sur leur politique commerciale. Au lieu de cela, ils laissent leurs intervenants chez leurs clients alors que les renouvellements ne sont même pas encore signés, quitte à accepter ensuite des baisses de tarifs irraisonnables.
http://www.channelnews.fr/actu-societes/interviews/114-ssii/2168-l-les-patrons-de-ssii-sous-estiment-le-risque-de-retournement-de-lactivite-r.html?showall=1
En savoir plus :
Les SSII ne sont plus valorisées que quatre fois leur résultat d'exploitation
Les SSII françaises rétives à la concentration
« Les SSII sont encore dans une attitude de déni de la crise »
SSII : leur activité ne serait pas encore affectée par la crise
SSII : troisième mois consécutif de baisse de la demande
excroquerie : du réel au virtuel
Sites gouv. sécurité
http://www.securite-informatique.gouv.fr/
Escroqueries informatiques
http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/securite-interieure/campagne-escroqueries
Intox ou info : comment reconnaître les canulars
http://www.hoaxbuster.com/
Merci à mes camarades de Capgemini pour les liens
vendredi 16 janvier 2009
jeudi 15 janvier 2009
Intervention de la F3C CFDT lors du rassemblement du 15 janvier
1000 prestataires et salariés de Renault manifestent ensemble
L'intervention lors du Rassemblement d'Ivan Béraud, Secrétaire National, au nom de la F3C CFDT :
Cher(e) Camarades, Cher(e) collèges,
Tout d'abord permettez moi de saluer la présence de nos collègues de la fédération de la métallurgie CFDT,
Prenant prétexte de la crise majeure de la filière automobile, les constructeurs, les équipementiers ou les entreprises liées au secteur réduisent ou rompent brutalement les contrats de prestation en Conseil en Technologie. Face aux conséquences sociales de la mise à terre de la Recherche / Développement dans la filière automobile, nous devons organiser la mobilisation des salariés.
Des milliers d’emplois menacés
Les sociétés de Conseil en Technologie et en Ingénierie Automobile avec leurs milliers de salariés souffrent de la crise du secteur automobile.
Les décisions des donneurs d’ordres comme Renault, PSA, Volvo, Michelin, Renault Truck, Sovab, de cesser ou de réduire fortement les achats de prestation de services, risquent d’avoir, des répercussions catastrophiques et immédiates sur des entreprises comme Akka Technologie, Assystem, Segula, Polymont, Altran, Alten, ABMI, Sogeti Hight Tech, Capgemini et autres prestataires spécialisés dans le conseil en technologie et l’ingénierie.
Ne pas laisser nos collègues isolés
Pour la F3C CFDT, il est essentiel de ne pas laisser isolés les salariés en difficulté. Nous revendiquons un cadre collectif organisé sur le lieu de travail initial. Tout d’abord, des Espaces Carrière Mobilité multi-entreprises doivent être mis en place par la branche Syntec dans l’enceinte même des donneurs d’ordre ; ensuite des formations, l’accès à la validation des Acquis de l’Expérience doivent être organisés par la Branche et par nos employeur. La reconversion vers le secteur des transports (ferroviaire), l’énergie (Nucléaire et Hydraulique) est possible mais doit être structurée. Il ne suffit pas de claquer du doigt,
Les donneurs d’ordres doivent assumer leur responsabilité !
Parce qu’ils ont une responsabilité dans la situation actuelle des prestataires, les donneurs d’ordres doivent prendre leur responsabilité en abondant les financements des formations et des Espaces Carrière Mobilité. Parce que leur locaux étaient leur lieu de travail et de socialisation, ils doivent en maintenir l’accès aux anciens prestataires.
Syntec et les sociétés de prestation doivent être responsables !
Parce que les années 2007 et 2008 ont été extrêmement profitables, la branche comme les entreprises ont les moyens d’accompagner et de financer les transitions professionnelles. La F3C CFDT n’acceptera pas que les ruptures des contrats de prestation se traduisent par des licenciements pour faute, des transactions sous pression ou des mobilités forcées.
Le Conseil en Technologie doit bénéficier des aides de l’Etat
Les Pouvoirs Publics, dans leur politique d’aide à la filière automobile, doivent prendre en compte le sort fait aux prestataires de services. L’Etat veut être au chevet de la filière automobile, mais nous ne voulons pas qu’il se réveille aux obsèques de la sous-traitance en ingénierie.
L'intervention lors du Rassemblement d'Ivan Béraud, Secrétaire National, au nom de la F3C CFDT :
Cher(e) Camarades, Cher(e) collèges,
Tout d'abord permettez moi de saluer la présence de nos collègues de la fédération de la métallurgie CFDT,
Prenant prétexte de la crise majeure de la filière automobile, les constructeurs, les équipementiers ou les entreprises liées au secteur réduisent ou rompent brutalement les contrats de prestation en Conseil en Technologie. Face aux conséquences sociales de la mise à terre de la Recherche / Développement dans la filière automobile, nous devons organiser la mobilisation des salariés.
Des milliers d’emplois menacés
Les sociétés de Conseil en Technologie et en Ingénierie Automobile avec leurs milliers de salariés souffrent de la crise du secteur automobile.
Les décisions des donneurs d’ordres comme Renault, PSA, Volvo, Michelin, Renault Truck, Sovab, de cesser ou de réduire fortement les achats de prestation de services, risquent d’avoir, des répercussions catastrophiques et immédiates sur des entreprises comme Akka Technologie, Assystem, Segula, Polymont, Altran, Alten, ABMI, Sogeti Hight Tech, Capgemini et autres prestataires spécialisés dans le conseil en technologie et l’ingénierie.
Ne pas laisser nos collègues isolés
Pour la F3C CFDT, il est essentiel de ne pas laisser isolés les salariés en difficulté. Nous revendiquons un cadre collectif organisé sur le lieu de travail initial. Tout d’abord, des Espaces Carrière Mobilité multi-entreprises doivent être mis en place par la branche Syntec dans l’enceinte même des donneurs d’ordre ; ensuite des formations, l’accès à la validation des Acquis de l’Expérience doivent être organisés par la Branche et par nos employeur. La reconversion vers le secteur des transports (ferroviaire), l’énergie (Nucléaire et Hydraulique) est possible mais doit être structurée. Il ne suffit pas de claquer du doigt,
Les donneurs d’ordres doivent assumer leur responsabilité !
Parce qu’ils ont une responsabilité dans la situation actuelle des prestataires, les donneurs d’ordres doivent prendre leur responsabilité en abondant les financements des formations et des Espaces Carrière Mobilité. Parce que leur locaux étaient leur lieu de travail et de socialisation, ils doivent en maintenir l’accès aux anciens prestataires.
Syntec et les sociétés de prestation doivent être responsables !
Parce que les années 2007 et 2008 ont été extrêmement profitables, la branche comme les entreprises ont les moyens d’accompagner et de financer les transitions professionnelles. La F3C CFDT n’acceptera pas que les ruptures des contrats de prestation se traduisent par des licenciements pour faute, des transactions sous pression ou des mobilités forcées.
Le Conseil en Technologie doit bénéficier des aides de l’Etat
Les Pouvoirs Publics, dans leur politique d’aide à la filière automobile, doivent prendre en compte le sort fait aux prestataires de services. L’Etat veut être au chevet de la filière automobile, mais nous ne voulons pas qu’il se réveille aux obsèques de la sous-traitance en ingénierie.
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| De manif technocentre |
1 000 prestataires et salariés Renault mobilisés
A l’appel de la F3C (prestataires) et FGMM (Métallurgie) CFDT et de leur homologues CGT ainsi que de syndicats de chez Renault, 1 000 prestataires et salariés de Renault se sont rassemblés devant le Technocentre de Guyancourt.
Les décisions des donneurs d’ordre, comme Renault, PSA, Volvo, Michelin, Sovab, de cesser ou de réduire fortement les achats de prestations de services fragilisent ce secteur. La forte mobilisation des prestataires comme des salariés de Renault montre l’inquiétude des salariés sur les répercutions sur les prestataires comme Akka, Assystem, Segula, Polymont, Altran, Sogeti…
Le fait que la F3C CFDT décompte, à ce jour, près de 3 000 salariés prestataires de la filière automobile en InterContrat montre que l’ensemble des acteurs de la filière déroule une politique similaire de réduction de l’ordre de 50 % de la prestation de service.
Dans ce contexte, la F3C CFDT se félicite de la convocation à sa demande le 27 janvier de la Commission Paritaire Nationale pour l’Emploi de la Branche Syntec en sa formation PSE. Elle y réitérera quatre exigences :
1 - La F3C CFDT n’acceptera pas que la rupture des contrats de prestation se traduise par des licenciements pour faute, des transactions sous pression ou des mobilités forcées. La Branche Syntec et les sociétés de prestation doivent être responsables, la profitabilité des années 2007 et 2008 leur donne les marges financières nécessaires pour financer les transitions professionnelles.
2- Les donneurs d’ordre, parce qu’ils sont directement responsable de la situation actuelle doivent assumer leur responsabilité en abondant le financement des formations et des Espaces Carrière Mobilité.
3 - Les conséquences sociales et économiques de la mise à terre de la Recherche / Développement dans la filière automobile ne peuvent pas laisser indifférents les pouvoirs publics. Pourtant la prestation de service est la grande absente de la politique d’aide à la filière automobile.
4 - Il ne faut pas laisser isolés les salariés en difficulté. C’est pourquoi la F3C CFDT revendique un cadre collectif organisé sur le lieu de travail initial. Tout d’abord, des Espaces Carrière Mobilité multi-entreprises doivent être mis en place par la branche Syntec dans les locaux du donneur d’ordre ; ensuite des formations, l’accès à la VAE doivent être organisés par la branche. La reconversion vers le secteur des transports (ferroviaire), l’énergie (Nucléaire et Hydraulique) est possible, mais doit être structurée.
Les décisions des donneurs d’ordre, comme Renault, PSA, Volvo, Michelin, Sovab, de cesser ou de réduire fortement les achats de prestations de services fragilisent ce secteur. La forte mobilisation des prestataires comme des salariés de Renault montre l’inquiétude des salariés sur les répercutions sur les prestataires comme Akka, Assystem, Segula, Polymont, Altran, Sogeti…
Le fait que la F3C CFDT décompte, à ce jour, près de 3 000 salariés prestataires de la filière automobile en InterContrat montre que l’ensemble des acteurs de la filière déroule une politique similaire de réduction de l’ordre de 50 % de la prestation de service.
Dans ce contexte, la F3C CFDT se félicite de la convocation à sa demande le 27 janvier de la Commission Paritaire Nationale pour l’Emploi de la Branche Syntec en sa formation PSE. Elle y réitérera quatre exigences :
1 - La F3C CFDT n’acceptera pas que la rupture des contrats de prestation se traduise par des licenciements pour faute, des transactions sous pression ou des mobilités forcées. La Branche Syntec et les sociétés de prestation doivent être responsables, la profitabilité des années 2007 et 2008 leur donne les marges financières nécessaires pour financer les transitions professionnelles.
2- Les donneurs d’ordre, parce qu’ils sont directement responsable de la situation actuelle doivent assumer leur responsabilité en abondant le financement des formations et des Espaces Carrière Mobilité.
3 - Les conséquences sociales et économiques de la mise à terre de la Recherche / Développement dans la filière automobile ne peuvent pas laisser indifférents les pouvoirs publics. Pourtant la prestation de service est la grande absente de la politique d’aide à la filière automobile.
4 - Il ne faut pas laisser isolés les salariés en difficulté. C’est pourquoi la F3C CFDT revendique un cadre collectif organisé sur le lieu de travail initial. Tout d’abord, des Espaces Carrière Mobilité multi-entreprises doivent être mis en place par la branche Syntec dans les locaux du donneur d’ordre ; ensuite des formations, l’accès à la VAE doivent être organisés par la branche. La reconversion vers le secteur des transports (ferroviaire), l’énergie (Nucléaire et Hydraulique) est possible, mais doit être structurée.
dimanche 11 janvier 2009
Apostrophe Café et Rime en Scène
Un lieu à découvrir, l'apostrophe café : sympa, bonne nourriture.
on y mange, (de 11 à 22 €)
le concept c'est cuisine plus culture,
Le programme culturel (en gros c'est le mercredi AM pour les enfants et le SAmedi soir pour les adultes)
C'est ici dans le 13ème (Métro Place d'Italie)
Une Compagnie à suivre : Rime en Scène. De la poesie mise en scène et en musique...
D'autre info ici
sur Facebook :
Ivan est en mode "un peu de poésie dans ce monde de brute". Enfin on est presque aussi serré que dans un sac à main pendant les soldes. 19:15 - 10 janvier
Je suis navrée, j'étais plus serrée dans les magasins que ne sont mes affaires dans mon sac à main ! à 20:37, le 10 janvier
Au final, tout le monde à trouvé une place, et ça a donné encore plus de chaleur au spectacle Ivan Béraud à 20:48 le 10 janvier via Facebook Mobile
Ivan est en train de regagner ses pénates, l'esprit adoucit par la poésie et le corps comblé d'un bon repas. 23:33 - 10 janvier
Après les soldes, cela a du faire du bien un monde de douceur ! à 09:33, le 11 janvier
on y mange, (de 11 à 22 €)
le concept c'est cuisine plus culture,
Le programme culturel (en gros c'est le mercredi AM pour les enfants et le SAmedi soir pour les adultes)
C'est ici dans le 13ème (Métro Place d'Italie)
Une Compagnie à suivre : Rime en Scène. De la poesie mise en scène et en musique...
D'autre info ici
sur Facebook :
Ivan est en mode "un peu de poésie dans ce monde de brute". Enfin on est presque aussi serré que dans un sac à main pendant les soldes. 19:15 - 10 janvier
Je suis navrée, j'étais plus serrée dans les magasins que ne sont mes affaires dans mon sac à main ! à 20:37, le 10 janvier
Au final, tout le monde à trouvé une place, et ça a donné encore plus de chaleur au spectacle Ivan Béraud à 20:48 le 10 janvier via Facebook Mobile
Ivan est en train de regagner ses pénates, l'esprit adoucit par la poésie et le corps comblé d'un bon repas. 23:33 - 10 janvier
Après les soldes, cela a du faire du bien un monde de douceur ! à 09:33, le 11 janvier
vendredi 9 janvier 2009
Les syndicats de Capgemini OS saisissent la justice pour annuler un plan social
Les CE de Capgemini OS saisissent la justice pour annuler un plan social
Edition du 07/01/2009 - par Véronique Arène (Le Monde Informatique)
Le CCE (comité central d'entreprise) et le CE (comité d'entreprise) de Capgemini Outsourcing Services (OS) sont prêts à tout pour tenter de suspendre un plan de réduction des effectifs, dont les détails leur ont été dévoilés au mois de novembre 2008. En assignant la direction de la SSII en justice, ils espèrent obtenir l'annulation d'une procédure qui devrait se solder par la suppression de 250 postes. Les comités demandent également au juge d'inciter l'Unité économique et sociale (UES) de Capgemini à plus de solidarité par rapport à une discipline qu'elle malmène déjà depuis plusieurs années. En effet, en août 2006, Capgemini annonçait la suppression de plus de deux cents emplois dans la division IM (Infrastructure Management) de sa filiale Outsourcing Services. Le Comité central d'entreprise avait réagi de la même manière en assignant la SSII devant le tribunal de grande instance pour faire suspendre la procédure. En septembre 2006, le jugement du TGI a effectivement ordonné cette suspension.
Pour l'heure, après plusieurs séances de questions/réponses, un constat de carence exprimé par la Direction départementale du travail et de l'emploi (DDTE) des Hauts de Seine, et rapidement annulé par celle-ci, et face à une expertise demandée à la direction par les CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) et non encore démarrée au 22 décembre, le CCE, le CE Capgemini OS et les deux CHSCT OS ont estimé être dans l'incapacité d'émettre un avis sur le plan de licenciements qui leur était soumis. De son côté, la direction persiste dans son analyse et maintient son plan dans l'attente de la décision du juge.
Edition du 07/01/2009 - par Véronique Arène (Le Monde Informatique)
Le CCE (comité central d'entreprise) et le CE (comité d'entreprise) de Capgemini Outsourcing Services (OS) sont prêts à tout pour tenter de suspendre un plan de réduction des effectifs, dont les détails leur ont été dévoilés au mois de novembre 2008. En assignant la direction de la SSII en justice, ils espèrent obtenir l'annulation d'une procédure qui devrait se solder par la suppression de 250 postes. Les comités demandent également au juge d'inciter l'Unité économique et sociale (UES) de Capgemini à plus de solidarité par rapport à une discipline qu'elle malmène déjà depuis plusieurs années. En effet, en août 2006, Capgemini annonçait la suppression de plus de deux cents emplois dans la division IM (Infrastructure Management) de sa filiale Outsourcing Services. Le Comité central d'entreprise avait réagi de la même manière en assignant la SSII devant le tribunal de grande instance pour faire suspendre la procédure. En septembre 2006, le jugement du TGI a effectivement ordonné cette suspension.
Pour l'heure, après plusieurs séances de questions/réponses, un constat de carence exprimé par la Direction départementale du travail et de l'emploi (DDTE) des Hauts de Seine, et rapidement annulé par celle-ci, et face à une expertise demandée à la direction par les CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) et non encore démarrée au 22 décembre, le CCE, le CE Capgemini OS et les deux CHSCT OS ont estimé être dans l'incapacité d'émettre un avis sur le plan de licenciements qui leur était soumis. De son côté, la direction persiste dans son analyse et maintient son plan dans l'attente de la décision du juge.
mardi 6 janvier 2009
Forêt magique
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| forêt magique |
La forêt magique vue depuis facebook (dans l'ordre antechronologique)
Ivan se prépare à abandonner elfes et forêt magique et à rentrer sur paris :-((. 18:33 -
Carole Hellegouarch à 19:50, le 4 janvier
Bienvenue dans le froid !
Ivan Béraud à 22:33 le 5 janvier via Facebook Mobile
Je n'ai pas réchauffé la forêt mais la rivière !
Carole Hellegouarch à 11:35, le 6 janvier
Autant pour moi, M. Le Magicien !
Ivan Tente d'emerger malgré le froid et le givre avant de rejoindre la rivière magique. 10:51 -
Carole Hellegouarch à 15:15, le 4 janvier
N'oublies pas les pagaies magiques pour remonter la rivière !
Ivan Béraud à 15:48 le 4 janvier via Facebook Mobile
Nous, nous sommes feignants, nous ne faisons que suivre le courant.
Carole Hellegouarch à 16:35, le 4 janvier
Ca sent la fin des vacances !
Ivan Béraud à 18:30 le 4 janvier via Facebook Mobile
Hé oui dans une heure trente, on est part. Snif !
3 janvier
Ivan Cherche son costume de Merlin l'endormeur pour conduire ses elfes aussi facilement qu'hier dans les bras de Morphé. 23:48 -
Carole Hellegouarch à 10:45, le 4 janvier
J'espère que tes elfes se sont transformés en diablotins hier soir puisque tu n'as pas voulu partager tes pouvoirs !
Ivan Béraud à 10:48 le 4 janvier via Facebook Mobile
Non, non ils sont resté sage.;-)
Ivan Après avoir transformé ses elfes en dauphins, je doit quérir de la nourriture dans la forêt enchantée. 15:25 -
Carole Hellegouarch à 19:40, le 3 janvier
J'espère que tu ne les as pas obligés à plonger dans les lacs gélés !
Ivan Béraud à 21:24 le 3 janvier via Facebook Mobile
Non avec mes pouvoir magiques, j'ai monté la température d'une rivière à 30 degrés. l'eau fume dans le froid et nous nageons dans la brume : génial !
Carole Hellegouarch à 21:30, le 3 janvier
Tu peux envoyer un sort sur Paris pour qu'il fasse1 peu plus chaud M. Le Magicien !
Ivan Béraud à 22:52 le 3 janvier via Facebook Mobile
Non, non. Il ne faut pas changer le climat sur une échelle trop grande. Désolé !
2 janvier
Ivan Passe en mode Merlin l'endormeur, mais il faudra sûrement user de l'ensemble des pouvoir de la magie pour arriver à ses fins ;;-). 22:48 -
Ivan A pu constater avec ses elfes que la champagne était vraiment proche de la russie. Ici aussi les lacs sont gelé ! 21:54 -
Ivan Est encore dans les brumes des forêts magiques. Je part avec 4 elfes rieurs dans les lacs de Champagne. 09:51 -
David Mathieu à 12:11 le 2 janvier via Facebook Mobile
En 2009 tu deviens poete ?Bonne année à toi et à tes elfes.
Ivan Béraud à 13:04 le 2 janvier via Facebook Mobile
Bonne année à toi aussi
jeudi 1 janvier 2009
Bonne Année 2009
Bonne année à tous et au 15 janvier pour les prestataires : http://ivanberaud.blogspot.com/2008/12/renault-les-prestataires-de-services-ne.html
Au 29 janvier pour tous le monde : http://www.cfdt.fr/rewrite/article/16674/actualites/mobilisation-nationale-interprofessionnelle-contre-la-crise,-le-29-janvier.htm?idRubrique=6864
Pendant toute l'année 2009, retrouver la CFDT et le pôle sur Facebook
Les prestataires de services : http://www.facebook.com/pages/Les-prestataires-ne-doivent-pas-etre-les-sacrifies-de-la-crise/44248441524
Le 15 janvier : rassemblement devant Renault : http://www.facebook.com/event.php?eid=40522793841
Le pôle Conseil Publicité : http://www.facebook.com/pages/Paris-France/Pole-Conseil-Publicite-F3C-CFDT/9496740309
La Page CFDT : http://www.facebook.com/pages/CFDT/35366632548
Le groupe CFDT : http://www.facebook.com/group.php?gid=5698669319
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