A eux qui serait tenter de s'abstenir, ou de voter au hasard, qu'ils se souviennent que lorsque que la paix et la démocratie sont en danger, peu nombreux sont ceux qui agissent dans l'ombre.
La construction de l'Europe qui a apporté au moins la paix sur ce continent mérite quelque minute de civisme dimanche.
Même si les hommes (et les femmes) politiques de tout accabi sont peu respecteux du respect que l'on doit à la Démocratie et tout ceux qui se sont battu pour qu'elle éclaire à nouveau notre continent. Dimanche je voterai donc en hommage à ceux qui ont agit pour faire reculer la barbarie. Je mettrai dans l'urne un bulletin de vote qui ne sera pas entaché de nationalisme, de régionalisme, de refus de construction de la paix en Europe !! et je vous invite à faire de même !
http://www1.yadvashem.org/heb_site/righteous/pdf/virtual_wall_of_honor/FRANCE.pdf
Pour ceux qui auraient la mémoire courte :
http://www.territoires-memoire.be/
http://www.territoires-memoire.be/expos/index.php
Pour ceux auraient oublié le totalitarisme stalinien :
http://www.memo.ru/library/arh_eng.pdf
http://www.memo.ru/museum/endex.htm
http://www.memo.ru/eng/map1.htm
http://www.memo.ru/eng/index.htm
Sur le régionalisme, quelque lecture sur la Bretagne (à titre d'exemple) :
http://www.communautarisme.net/grib/
http://www.communautarisme.net/grib/Nationalisme-breton-et-collaboration-avec-les-nazis-le-colloque-de-Brest_a23.html
http://www.communautarisme.net/La-memoire-s-arrete-t-elle-aux-portes-du-regionalisme_a157.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_national_breton
A ceux qui serait tenté de protester en votant pour les faux nez des héritiers de Trotski :
Concernant Trotski je vous conseille de relire ses écrits quand il était aux manettes, le résumé est dans Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Trotsky
"Après la révolution de Février 1917, Trotski décide de retourner en Russie en mai 1917. D'après Jennings C Wise, ce serait à l'aide du président américain Woodrow Wilson[5], qu'il obtient un passeport américain [6], qui lui permet d'arriver en Russie. Il est d'accord avec les « thèses d'avril » de Lénine, qu'il considère comme un signal de ralliement à ses propres idées de « révolution permanente ». Il a alors abandonné l'espoir de parvenir à une union générale de tous les courants, mais continue cependant à travailler sur la fusion de l'organisation interrayons et des bolcheviks.
Lorsque le congrès d'unification a lieu, en août 1917, il est arrêté et emprisonné par le gouvernement provisoire. Malgré sa détention, il est élu au Comité central par le congrès. Libéré suite au putsch avorté du Général Kornilov, il devient président du soviet de Petrograd en septembre et du Comité militaire révolutionnaire en octobre, devenant l'un des principaux dirigeants bolcheviks de la révolution d'Octobre. Il réorganise l'armée rouge, qu'il a fondé le 23 février 1918, en instaurant la conscription en pleine attaque des pays occidentaux sur le territoire russe.
La nuit du onze au douze avril 1918 , en période de Guerre civile russe et d'offensive des armées blanches, une action dirigée contre les anarchistes russes (qualifiés d'« anarcho-bandits ») par le pouvoir bolchévique dont Trotski s'occupe personnellement lui fera dire : « Enfin, le pouvoir soviétique débarrasse, avec un balai de fer, la Russie de l'anarchisme[7] ! »
Il occupe ensuite le poste de commissaire du peuple aux affaires étrangères jusqu'en 1918, duquel il démissionne après avoir signé les accords de Brest-Litovsk. Il devient ensuite commissaire à la guerre de 1918 à 1925, durant la guerre civile. Il organise les opérations militaires et intervient sur tous les fronts à bord de son train blindé. En parallèle, il fait partie du Bureau politique de 1919 à 1927.
En 1920 (notamment lors du IXe congrès du parti), afin de pallier la situation économique catastrophique de l'URSS, Trotski propose la militarisation provisoire du travail : selon lui, cette mesure était rendue nécessaire par le contexte de la guerre civile et de la révolution mondiale. Il posait déjà cette alternative en 1917 : « Ou bien la Révolution russe soulèvera le tourbillon de la lutte en Occident, ou bien les capitalistes de tous les pays étoufferont notre révolution.[8] » Dans cette vision, toute grève est considérée comme une désertion, et toute revendication est considérée comme une insubordination.
En mars 1921, il ordonne l'assaut de la citadelle insurgée de Kronstadt .
En décembre 1922, dans un long discours au IVème congrès du Komintern, il dénonce l'idéologie de la franc-maçonnerie française, coupable de réunir les ennemis de classe et de vouloir substituer la tolérance à la lutte armée[9]."
Si vous ne savez toujours pas pour qui voter : http://www.votematch.eu/votematches/EUDebate/France/index.html
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