le lien pour l'installation est ici : http://www.facebook.com/add.php?api_key=a06b5a35a96163527060754908104447
N'oubliez pas de vous inscrire sur Facebook avant, sinon ça sert à rien
mercredi 30 janvier 2008
lundi 28 janvier 2008
widget
Le web2.0 c'est bien, les widgets c'est mieux pour agrémenter les sites internets :
La CFDT sur Spock
lien vers ce widget : http://www.spock.com/do/search/widget?query=cfdt
Les citations du chef de pôle :
Lien vers ce widget : http://www.spock.com/Ivan-Beraud-Inx9m1yS/quotes/widget
La CFDT sur Spock
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Les citations du chef de pôle :
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jeudi 24 janvier 2008
dico sur internet
De mon point de vue l'un des meilleur dico de français sur internet : sens, exemple, synonyme, antonymes.... : http://www.cnrtl.fr/portail/
Pour les synonymes et les détail de différence de sens : http://elsap1.unicaen.fr/cgi-bin/cherches.cgi
ou bien : http://elsap1.unicaen.fr/cgi-bin/cherches5.cgi
Pour les synonymes et les détail de différence de sens : http://elsap1.unicaen.fr/cgi-bin/cherches.cgi
ou bien : http://elsap1.unicaen.fr/cgi-bin/cherches5.cgi
lundi 21 janvier 2008
Un moteur de recherche coopératif
Le monde wiki lance un moteur de recherche coopératif sur le mode web 2.0, à découvrir d'urgence. Je vous en reparlerai bientôt.
jeudi 17 janvier 2008
Les réseaux sociaux en ligne bientôt interopérables ?
Article sur Indexel
Actualités
Les réseaux sociaux en ligne bientôt interopérables ?
14/01/2008
Google, Facebook, Netvibes et LinkedIn rejoignent le Dataportability Group pour favoriser la portabilité des données personnelles d'un réseau social à l'autre. Une bonne nouvelle pour les utilisateurs.
L'engouement pour les réseaux sociaux en ligne va-t-il enfin déboucher sur une véritable portabilité des données personnelles des internautes qui les utilisent ? Une question importante alors que l'identité numérique devient incontournable tant dans la vie privée que dan le monde professionnel. Conscients que c'est en privilégiant la portabilité qu'ils fidéliseront leurs membres, LinkedIn, Google, Facebook, Plaxo et Netvibes viennent de rejoindre le Dataportability Group, un groupe de travail qui, comme son nom l'indique, vise à favoriser la portabilité des données.
Le Dataportability Group compte déjà dans ses rangs les sociétés Yahoo!, MySpace, Seesmic, Disney, BBC, NineMSN et Dow Jones/Fox. Créé en novembre dernier, le groupe de travail va définir des formats standards de données afin de faciliter leur exportation d'un réseau social à l'autre. Il s'appuiera pour cela sur les standards technologiques du web 2.0 : RSS, OpenID (notre article) que Yahoo! supporte désormais, ainsi que les microformats (notre article).
L'intérêt des éditeurs de services web 2.0 pour la portabilité est très fort. En moins de trois mois, tous les grands acteurs ont rejoint le Dataportability Group. C'est une excellente nouvelle pour les utilisateurs qui pourraient bénéficier rapidement d'une réelle portabilité de leurs données personnelles.
http://www.indexel.net/1_20_5039___/Les_reseaux_sociaux_en_ligne_bientot_interoperables__.htm?origin=900
Lire aussi
Les termes informatiques qui compteront en 2008
Réseaux sociaux : comment en tirer profit ? Identité numérique : gérer sa réputation en ligne
Alain Bastide
Actualités
Les réseaux sociaux en ligne bientôt interopérables ?
14/01/2008
Google, Facebook, Netvibes et LinkedIn rejoignent le Dataportability Group pour favoriser la portabilité des données personnelles d'un réseau social à l'autre. Une bonne nouvelle pour les utilisateurs.
L'engouement pour les réseaux sociaux en ligne va-t-il enfin déboucher sur une véritable portabilité des données personnelles des internautes qui les utilisent ? Une question importante alors que l'identité numérique devient incontournable tant dans la vie privée que dan le monde professionnel. Conscients que c'est en privilégiant la portabilité qu'ils fidéliseront leurs membres, LinkedIn, Google, Facebook, Plaxo et Netvibes viennent de rejoindre le Dataportability Group, un groupe de travail qui, comme son nom l'indique, vise à favoriser la portabilité des données.
Le Dataportability Group compte déjà dans ses rangs les sociétés Yahoo!, MySpace, Seesmic, Disney, BBC, NineMSN et Dow Jones/Fox. Créé en novembre dernier, le groupe de travail va définir des formats standards de données afin de faciliter leur exportation d'un réseau social à l'autre. Il s'appuiera pour cela sur les standards technologiques du web 2.0 : RSS, OpenID (notre article) que Yahoo! supporte désormais, ainsi que les microformats (notre article).
L'intérêt des éditeurs de services web 2.0 pour la portabilité est très fort. En moins de trois mois, tous les grands acteurs ont rejoint le Dataportability Group. C'est une excellente nouvelle pour les utilisateurs qui pourraient bénéficier rapidement d'une réelle portabilité de leurs données personnelles.
http://www.indexel.net/1_20_5039___/Les_reseaux_sociaux_en_ligne_bientot_interoperables__.htm?origin=900
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Les termes informatiques qui compteront en 2008
Réseaux sociaux : comment en tirer profit ? Identité numérique : gérer sa réputation en ligne
Alain Bastide
mardi 15 janvier 2008
Carla Bruni
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Carla Bruni,
Enfin surtout la liste de ses amants...
Enfin tout quoi est ici : http://ivan.beraud.free.fr/internet/aventura.pps !
Enfin surtout la liste de ses amants...
Enfin tout quoi est ici : http://ivan.beraud.free.fr/internet/aventura.pps !
Les informaticiens a priori à l'abri du CDD de projet
Les informaticiens a priori à l'abri du CDD de projet (appelé aussi Contrat de Chantier)
Syndicats et patronat négocient un nouveau contrat de travail appelé « contrat de projet ». En SSII, son impact devrait être faible.Bertrand Braux , 01net., le 10/01/2008 à 17h45
Dans le cadre des négociations sur la modernisation du marché du travail, patronat et syndicats ont entamé le dernier round d'une série qui doit normalement s'achever ce soir, mais plus vraisemblablement demain. Parmi les mesures examinées figure un nouveau contrat de travail, le contrat de projet.
Le texte du Medef, qui sert de base à la négociation, et que 01net. s'est procuré, stipule que « lorsqu'une incertitude pèse sur la durée de réalisation de certains projets et que leur terme, bien que certain, ne peut être apprécié avec précision, un contrat à durée indéterminée particulier peut être conclu pour permettre la réalisation dudit projet. Le texte précise également que lors de sa conclusion, ce CDD doit comporter une clause précisant expressément le projet pour lequel il est conclu et indiquant que sa réalisation constitue un motif valable de rupture du contrat ».
Le contrat s'apparente donc plus à un contrat à durée limitée qu'à un véritable CDI. Il serait donc similaire à ce que connaissent les branches du bâtiment et de l'ingénierie avec le contrat de chantier.
Sa rupture donnerait lieu au versement d'une indemnité spécifique d'un montant égal à 10 % de la rémunération totale brute du salarié et non assujettie aux prélèvements sociaux et fiscaux. Mais dans le cas où à la fin du projet le contrat ne serait pas rompu, celui-ci se transformerait en véritable CDI.
(...)
De son côté, Alain Donzeaud, président de la Commission sociale emploi et formation de Syntec Informatique tient un discours très mesuré. « En 2003, en effet, nous avions émis l'hypothèse d'un contrat de mission de ce type, qui a été très critiqué. Mais aujourd'hui, nous ne sommes pas à l'origine du renouveau de cette idée, nous ne faisons pas partie des négociations et nous ne les commenterons qu'une fois les accords signés. A l'heure actuelle 98 % des contrats signés sont des CDI ou le deviennent dans nos entreprises, et cela n'est pas près de changer. »
Un contrat dont l'avenir est très incertain
De son côté, Ivan Beraud, secrétaire national de la fédération F3C CFDT en charge du secteur des SSII et des éditeurs n'est pas vraiment inquiet. « Le texte précise que la durée d'un tel contrat doit être supérieure au minimum à 18 mois. Ce n'est pas ce que les entreprises recherchent vraiment, elles préfèreraient une période plus courte. D'autre part, le recours à ce type de contrat particulier est subordonné à la conclusion d'un accord de branche et cela m'étonnerait que les syndicats de la branche signent quoi que ce soit en faveur de ce projet. Et le Syntec n'y tient pas plus que cela. »
L'avenir de ce contrat dans le secteur informatique semble donc bien incertain, d'autant plus qu'à l'heure actuelle, les SSII ont tellement de mal à recruter qu'on voit mal comment elles pourraient avoir recours à court terme à ce type de contrat.
Syndicats et patronat négocient un nouveau contrat de travail appelé « contrat de projet ». En SSII, son impact devrait être faible.Bertrand Braux , 01net., le 10/01/2008 à 17h45
Dans le cadre des négociations sur la modernisation du marché du travail, patronat et syndicats ont entamé le dernier round d'une série qui doit normalement s'achever ce soir, mais plus vraisemblablement demain. Parmi les mesures examinées figure un nouveau contrat de travail, le contrat de projet.
Le texte du Medef, qui sert de base à la négociation, et que 01net. s'est procuré, stipule que « lorsqu'une incertitude pèse sur la durée de réalisation de certains projets et que leur terme, bien que certain, ne peut être apprécié avec précision, un contrat à durée indéterminée particulier peut être conclu pour permettre la réalisation dudit projet. Le texte précise également que lors de sa conclusion, ce CDD doit comporter une clause précisant expressément le projet pour lequel il est conclu et indiquant que sa réalisation constitue un motif valable de rupture du contrat ».
Le contrat s'apparente donc plus à un contrat à durée limitée qu'à un véritable CDI. Il serait donc similaire à ce que connaissent les branches du bâtiment et de l'ingénierie avec le contrat de chantier.
Sa rupture donnerait lieu au versement d'une indemnité spécifique d'un montant égal à 10 % de la rémunération totale brute du salarié et non assujettie aux prélèvements sociaux et fiscaux. Mais dans le cas où à la fin du projet le contrat ne serait pas rompu, celui-ci se transformerait en véritable CDI.
(...)
De son côté, Alain Donzeaud, président de la Commission sociale emploi et formation de Syntec Informatique tient un discours très mesuré. « En 2003, en effet, nous avions émis l'hypothèse d'un contrat de mission de ce type, qui a été très critiqué. Mais aujourd'hui, nous ne sommes pas à l'origine du renouveau de cette idée, nous ne faisons pas partie des négociations et nous ne les commenterons qu'une fois les accords signés. A l'heure actuelle 98 % des contrats signés sont des CDI ou le deviennent dans nos entreprises, et cela n'est pas près de changer. »
Un contrat dont l'avenir est très incertain
De son côté, Ivan Beraud, secrétaire national de la fédération F3C CFDT en charge du secteur des SSII et des éditeurs n'est pas vraiment inquiet. « Le texte précise que la durée d'un tel contrat doit être supérieure au minimum à 18 mois. Ce n'est pas ce que les entreprises recherchent vraiment, elles préfèreraient une période plus courte. D'autre part, le recours à ce type de contrat particulier est subordonné à la conclusion d'un accord de branche et cela m'étonnerait que les syndicats de la branche signent quoi que ce soit en faveur de ce projet. Et le Syntec n'y tient pas plus que cela. »
L'avenir de ce contrat dans le secteur informatique semble donc bien incertain, d'autant plus qu'à l'heure actuelle, les SSII ont tellement de mal à recruter qu'on voit mal comment elles pourraient avoir recours à court terme à ce type de contrat.
jeudi 3 janvier 2008
mercredi 2 janvier 2008
mardi 1 janvier 2008
Saint Sylvestre
Comme de coutume, nous étions à Tremblay en France pour le réveillon qui marque le passage du 31 décembre 2007 au 1er janvier 2008.
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